Issu de la partie Petrosian-Spassky, Moscou 1966. Les blancs jouent et gagnent.
<strong>Solution</strong>
Vous devez activer JavaScript pour améliorer l'affichage des parties d'échecs.
(function() {
function renderThisPGN() {
RPBChessboard.renderPGN(« rpbchessboard-686e8b7e25865-2 », {« pgn »: »[FEN \ »6k1\/5r1p\/p2N4\/nppP2q1\/2P5\/1P2N3\/PQ5P\/7K w – – 0 1\ »]\n[SetUp \ »1\ »]\n\n{ Les blancs semblent un peu mieux dans cette finale. Pourtant, un seul coup leur permet d’aller vers une victoire \u00e9crasante. }\n1. Qh8+ { Ma\u00eetre du jeu positionnel et prophylactique, Petrosian conna\u00eet aussi ses tactiques. } (1. Nxf7 { La simple capture de la Tour donne un l\u00e9ger avantage, mais il faut encore travailler Spassky au corps pour gagner la finale. } 1… Qxe3 2. Ne5 Qe1+ 3. Kg2 Qe4+ { Le roi blanc va avoir du mal de se sortir des \u00e9checs… }) 1… Kxh8 2. Nxf7+ Kg7 3. Nxg5 { Avec un cavalier de plus et un pion pass\u00e9, la messe est dite. } *\n\n\n », »pieceSymbols »: »figurines », »navigationBoard »: »scrollLeft », »withPlayButton »:true, »withFlipButton »:true, »withDownloadButton »:true, »nboSquareSize »:45, »nboCoordinateVisible »:true, »nboTurnVisible »:true, »nboColorset »: »original », »nboPieceset »: »cburnett », »nboAnimated »:true, »nboMoveArrowVisible »:true, »nboMoveArrowColor »: »b », »idoSquareSize »:45, »idoCoordinateVisible »:true, »idoTurnVisible »:true, »idoColorset »: »original », »idoPieceset »: »cburnett »});
}
if (document.readyState === ‘loading’) {
document.addEventListener(‘DOMContentLoaded’, renderThisPGN);
}
else {
renderThisPGN();
}
})();